Pourquoi la veille digitale est aujourd’hui indispensable et comment Babour la met au coeur de votre stratégie

Pourquoi la veille digitale est aujourd’hui indispensable
et comment Babour la met au cœur de votre stratégie


Dans un univers numérique en perpétuelle mutation, faire de la veille digitale n’est plus un simple “plus” : c’est une condition sine qua non pour toute marque qui veut durer. L’agence Babour, c’est un pilier de notre démarche pour offrir à nos clients une communication print & digitale cohérente, pertinente et toujours alignée avec les dernières tendances.

🔍 La veille digitale, c’est quoi concrètement ?

La veille digitale regroupe l’ensemble des techniques permettant de suivre en continu ce qui se passe sur le web : nouvelles tendances marketing, évolutions des algorithmes SEO, comportements des consommateurs, activités des concurrents, mutations des réseaux sociaux, ou nouvelles pratiques publicitaires.

Elle peut couvrir plusieurs dimensions :

✅ Pourquoi c’est essentiel pour l’agence Babour, mais surtout pour vous

  1. Rester visible et bien référencé
    Le SEO évolue vite : Google modifie fréquemment ses critères. Une veille SEO assidue vous permet d’adapter vos contenus, mots-clés et structure pour rester bien classé dans les résultats de recherche. 

  2. Anticiper les tendances et l’évolution des usages
    Les usages digitaux changent (formats, plateformes, attentes des internautes). En surveillant les innovations, vous pouvez adapter votre communication avant vos concurrents une force de différenciation.

  3. Réagir vite et intelligemment aux signaux du marché
    Comprendre ce que disent les consommateurs, ce que fait la concurrence ou comment évolue votre secteur permet de prendre des décisions éclairées, ajuster vos stratégies, ou saisir des opportunités. 

  4. Construire une image de marque cohérente et crédible
    Une veille image / e-réputation vous aide à contrôler ce qui se dit sur vous, à gérer les retours, et à maintenir une communication authentique et transparente essentielle pour gagner la confiance de votre public. 

  5. Optimiser le retour sur investissement de votre communication
    En combinant veille SEO, veille marché et veille technologique, vous adaptez vos efforts contenu, format, canal à ce qui fonctionne réellement. Résultat : plus d’efficacité, moins de gaspillage.

🛠️ Comment Babour met en place une veille digitale intelligente et efficace

En tant qu’agence print & digitale, nous avons défini une méthode structurée de veille pour nous-mêmes et pour nos clients qui repose sur plusieurs étapes :

 

En d’autres termes : la veille devient un levier stratégique, pas juste un “plus”.

🎯 Ce que cela vous apporte en tant que client de l’agence Babour


En travaillant avec l’agence Babour, vous bénéficiez :


Adaptations 2025 : Veille, IA & marketing digital les nouvelles donnes

Avec l’arrivée massive de l’intelligence artificielle dans les stratégies marketing, la veille digitale évolue. L’automatisation, l’analyse prédictive, la personnalisation des parcours client sont désormais à portée de main.


Au sein de l’agence Babour, cela signifie : surveiller les nouvelles IA marketing, tester les outils d’automatisation, intégrer les formats émergents, et adapter la stratégie globale print comme digitale pour tirer parti de ces innovations.

Autrement dit : votre communication reste moderne, pertinente, efficace, même dans un monde digital en rapide mutation.

 

La veille digitale n’est plus un luxe, c’est une nécessité. Pour rester visible, performant, crédible, et réactif : il faut observer, analyser, anticiper, et agir. A l’agence Babour, c’est inscrit dans notre ADN. Nous sommes prêts à vous accompagner dans cette démarche, pour faire de votre communication un levier de croissance durable du papier au pixel.

NATIVE ADVERTISING : DÉFINITION, INTÉRÊT ET GUIDE PRATIQUE

NATIVE ADVERTISING : DÉFINITION, INTÉRÊT ET GUIDE PRATIQUE

Qu’est-ce que le Native Advertising ?

Le Native Advertising est un type de publicité en ligne en pleine expansion, notamment face au display dont les formes les plus intrusives (interstitiel, slide-in…) peuvent être décriées tout en étant de plus en plus limitées par les adblockers. L’objectif du native advertising est d’insérer naturellement la communication d’un annonceur dans la ligne éditoriale d’un site internet à fort contenu rédactionnel, ciblé selon le domaine d’expertise visé. Cette publicité native, de son nom français, peut être présentée comme une déclinaison digitale et moderne des bons vieux publi-rédactionnels des magazines. Pour garantir la transparence de ces contenus, ceux-ci son identifiés par des mentions obligatoires telles que : « article sponsorisé » ou « en partenariat avec ».

Les différents types de Native Advertising

Les secteurs de la publicité et du digital aiment créer leurs propres jargons, le plus souvent avec des mots-valises dont personne n’a la même interprétation. L’adtech étant à la croisée de ces univers, tout ou presque a pu être qualifié de Native Advertising ces dernières années : articles sponsorisés façon publi-rédac’, publicités dans les flux d’actualité de Facebook, Instagram ou Twitter, publicités display mimant l’apparence de contenus éditoriaux…

Plutôt que de hurler à qui veut bien l’entendre que sa définition du Native Advertising est la plus pure, getfluence se veut rassembleur en définissant le Native Advertising comme un ensemble de formats ayant pour dénominateur commun : « Le Native Advertising doit mêler un véritable contenu du site et des publicités d’annonceurs. Le défi de la publicité native est de transmettre à l’internaute une valeur ajoutée : cela peut être un contenu divertissant ou informatif, tout en véhiculant un message publicitaire. »

Ce qui se traduit par différents formats, ô combien différents dans leur expression :

L’In-Feed Éditorial correspond à l’intégration d’un contenu original (article, vidéo…) au bénéfice de l’annonceur dans l’éditorial du site, en reprenant subtilement les codes visuels, tout en précisant clairement qu’il s’agit d’un contenu sponsorisé. Il s’agit de la forme la plus proche du publi-rédactionnel, aussi appelé publi-communiqué. Selon les usages internes des médias, ce contenu peut être écrit par un membre de la rédaction ou en externe (les journalistes refusant en général de produire des articles sponsorisés). Ce type de contenu se prête particulièrement à la co-création, notamment avec les influenceurs. L’article que vous êtes en train de lire est un exemple d’In-feed Éditorial !L’In-Feed Externe est très proche de l’In-Feed Éditorial, à la différence qu’il renvoie vers un lien externe au média. Il s’agit le plus souvent d’une redirection vers le site ou une landing page de l’annonceur. L’In-Feed Externe est parfois qualifié de format natif, puisqu’au fond, il s’agit simplement d’une annonce publicitaire reprenant les codes visuels de l’éditorial, sans qu’il n’y ait de création de contenu propre au média.L’In-Feed Social correspond à l’intégration des campagnes publicitaires dans les fils d’actualité des réseaux sociaux. Cette pratique fait actuellement les beaux jours de Facebook, Instagram et Twitter, notamment sur mobile où il s’agit quasiment du seul format proposé.Les modules de recommandation sont les encadrés visibles en bas des articles de certains médias. Ils mélangent le plus souvent sans grande distinction graphique des recommandations de contenus propres au média et contenus purement publicitaires (sites externes), ce qui pose quelques questions de lisibilité vis-à-vis du public.Les Promoted Listings mettent quant à eux en avant des offres commerciales sur des sites de ventes comme Ebay, Amazon ou Leboncoin, ainsi que sur des comparateurs de prix. L’internaute est alors redirigé vers un élément mis en vente. Bref, cela ressemble fort à une tête de gondole numérique !

Comment getfluence facilite le Native Advertising

La plateforme getfluence permet de rendre simple la gestion de campagnes de Native Advertising et en particulier d’In-Feed Éditorial. Cette solution a pour objectif premier de mettre en relation les sites influents et annonceurs dans le but de produire et de diffuser des contenus de Native Advertising. Elle reste au cœur de la relation pour s’assurer qu’éditeurs comme annonceurs voient leurs désirs respectés tant sur le fond que sur la forme du contenu. Le brief est transmis via la plateforme aux éditeurs de sites retenus pour chaque projet et les annonceurs ont la possibilité de garder entièrement la main sur les projets ou de laisser des directives à getfluence.

Dans tous les cas, la plateforme assure à chaque étape un suivi personnalisé pour chaque annonceur. Celui-ci peut effectuer le ciblage pour la campagne parmi une base de plus de 3000 éditeurs influents. Il reste en lien permanent avec les plateformes et les éditeurs lors de la création de la campagne. De cette façon les entreprises voient leur accès à la publicité native grandement facilité.

 

Source  : La réclame

COMMENT ENGAGER DES INFLUENCEURS ADOLESCENTS ?

COMMENT ENGAGER DES INFLUENCEURS ADOLESCENTS ?

14 ans et déjà 140 fois plus d’abonnés que vous.

Les influenceurs capteraient plusieurs milliards d’investissements de la part des marques chaque année, en nette croissance. Fait encore plus surprenant : des adolescent·e·s font partie de ces influenceurs, attirant rien qu’en France quelques millions d’abonnés. Ceux-ci sont prescripteurs pour leur audience, car ils en constituent les miroirs directs, que ce soit sur YouTube, Instagram ou Snapchat. La tendance va même vers un rajeunissement de l’âge moyen des influenceurs, comme l’indique une récente étude de Reech.

Au fait ces tendances, l’agence  a conçu et diffusé cet été deux opérations à destination des 14-17 pour son client Ligier. Retour sur ces cas de communication digitale visant la « génération Z » en compagnie de Jean-Michel Onillon, responsable du pôle social media & digital content d’Intuiti.

Le brief

Ligier représentente un grand écart automobile inattendu : le constructeur est aussi bien connu pour ses voitures sans permis – dont la vitesse est limitée à 45 km/h – que pour son engagement dans le sport automobile, en endurance actuellement après deux décennies de Formule 1.

 collabore avec cette entreprise auvergnate depuis un an et demi. L’agence a été briefée au 1er semestre avec un triple enjeu, comme le raconte Jean-Michel Onillon :

– La démocratisation de l’usage auprès des 14-17 ans : « La conduite des voitures sans permis est autorisée dès 14 ans en France, ce qui reste méconnu avec des conducteurs majoritairement… majeurs. Cette particularité locale ne se retrouve pas dans d’autres pays d’Europe – où Ligier est n°1 des « VSP » – comme l’Italie et la Suède où ces voitures sont avant tout vendues aux jeunes ».

– Un enjeu d’image : « Le public a encore en tête des voitures sans permis destinées à des personnes dont le permis a été retiré. » Des pots de yaourt qui n’avancent pas, punissant en quelque sorte les auteurs d’excès de vitesse. Sauf que « la marque a beaucoup fait évoluer l’offre de VSP avec un design intérieur et extérieur qualitatif, une conduite agréable… faisant de la gamme Ligier un ensemble de belles petites voitures », comme s’en enthousiasme Jean-Michel Onillon.

– Enfin un enjeu de notoriété pure : Ligier doit être LA marque la plus citée spontanément sur ce marché.

Le Ligier Summer Camp

L’équipe d’Intuiti était convaincue que la cible des adolescents apporterait davantage de crédit à des contenus provenant d’influenceurs que de la marque elle-même. De plus, « le profil des influenceurs s’est profondément rajeuni » en France, comme l’a identifié Reach dans une étude : « La part des 12-18 ans a doublé en un an pour atteindre 17%. »

De ces constats a émergé le concept du « Ligier Summer Camp », un événement dédié exclusivement aux influenceurs. Début juillet, la marque et son agence ont invité 5 influenceurs à Hossegor en partenariat avec Quicksilver et l’agence RP Akagency. « L’hôte » de camp était Noa Dupouy, un champion d’Europe de surf de 14 ans qui est aussi ambassadeur Ligier.Les influenceurs conviés au Ligier Summer Camp :
– Enzo, Tais-Toi ! (857k abonnés YouTube, 402k Instagram)
– Loup (334k YouTube, 228k Instagram)
– Enzo Pebre (240k YouTube, 106k Instagram)
– Julie Gtr (216k YouTube, 76k Instagram)
– Agathe Vssr (129k YouTube, 124k Instagram)

Au programme : la découverture de l’univers de surf de Noa Dupouy et bien évidemment des essais des véhicules Ligier pour les influenceurs, générant ainsi un nouvel usage, que ces VIP encore au collège ne manqueront pas de documenter via leurs partages YouTube, Instagram ou Snapchat. Pour maximiser l’impact et l’expérience chez les participants, les organisateurs ont également personnalisé l’événement en fonction des influenceurs en étant « aux petits soins », célébrant par exemple l’anniversaire « d’Enzo, Tais-toi ! » lors de ce séjour.

Comme en témoigne avec transparence Jean-Michel Onillon, « les 5 influenceurs ont été rémunérés pour venir au Ligier Summer Camp, avec un engagement de leur part de publier au moins 2 contenus sur leurs comptes Instagram ou Snapchat », avec cependant « une totale liberté éditoriale ». Bons joueurs, « les influenceurs ont en réalité publié 10 à 15 contenus chacun », partageant avec leurs abonnés cette expérience inédite pour eux. La vidéo « vlog » d’Enzo, Tais-Toi ! sur le Ligier Summer Camp a également fait l’objet d’une commande, allant dans la tendance de la co-création sponsorisée déjà évoquée par Eric Maillard dans son interview consacrée au marketing d’influence.

Les résultats – Ligier Summer Camp

612 871 vues YouTube pour la vidéo de l’influenceur Enzo, Tais-Toi !, à 100% d’organique

Un reach de 450 000 jeunes sur Instagram et Snapchat à partir des comptes d’influenceurs

120 000 interactions sur Instagram et Snapchat

+ 63% d’abonnés sur Instagram pour Ligier

+ 54% d’abonnés sur Snapchat pour Ligier

+ 101% d’impressions sur la page Facebook de la marque

Ces résultats ont été obtenus uniquement grâce à l’audience des influenceurs, sans achat média sur les plateformes sociales.

La websérie Moov

À la même période et à destination de la même cible, Ligier et Intuiti ont dévoilé la websérie Moov sur YouTube, la plateforme vidéo de Google « étant devenu le TF1 » des adolescents comme le souligne Jean-Michel Onillon. Celle-ci est un road movie – sans permis – qui « raconte les péripéties de Maya et Jo, deux collégiens de 14 ans » à bord d’une Ligier. 6 épisodes de moins de deux minutes ont été produits, avec cette fois-ci une stratégie de diffusion sponsorisée sur YouTube. Une soixantaine de posts et de stories ont également été publiés sur les comptes sociaux de la marque, « avec Maya et Jo comme community managers fictifs de la marque ».

Les résultats – websérie Moov

386 000 vues uniques sur YouTube, dont 1/3 d’organiques

70% de taux de complétion des vidéos

+2500 abonnés sur la chaîne YouTube de Ligier

Plus de 1 000 J’aime sur les vidéos

Les clés de succès

– L’identification des influenceurs
Pour Jean-Michel Onillon, la « qualité d’identification des influenceurs » a été décisive. Le responsable du pôle social media & digital content d’Intuiti recommande de faire appel à des personnes « sincères dans leur communication sur les réseaux sociaux, proches de l’univers de la marque, et à qui l’on peut faire confiance ». Ce dernier point étant particulièrement important car il permet ensuite de laisser libre court à la créativité des influenceurs, ce qui est gagnant-gagnant aussi bien pour la marque, que les influenceurs ou leurs abonnés.

– L’expérience proposée aux influenceurs
Jean-Michel Onillon précise que faire appel à des influenceurs adolescents occasionne quelques particularités : « Ceux-ci sont beaucoup moins disponibles que des influenceurs professionnels… car scolarisés ! » Ce qui engendre des délais, ajustements et attentes de confirmation parfois difficiles à obtenir. Il est donc clé de proposer à ces jeunes influenceurs « une expérience qui leur plaît réellement » et qui ne constitue pas uniquement une opportunité financière ou stratégique.

Néanmoins, une fois la liste d’invités confirmée, Jean-Michel Onillon ne tarit pas d’éloges « sur le professionnalisme et la maturité » de ces jeunes influenceurs lors du Ligier Summer Camp.

– La qualité des contenus
Le taux de complétion de 70% des vidéos prouve que le soin apporté par Intuiti à « la qualité de l’image et du scénario » de la websérie Moov pour Ligier est synonyme de performance. « C’est le b.a.-ba depuis 3-4 ans pour toute production digitale, mais il est satisfaisant de constater que cela s’avère bien payant au final », comme s’en félicite Jean-Michel Onillon.

– L’optimisation de la diffusion
Enfin, Ligier et son agence ont finement travaillé la stratégie de relais de ces deux opérations estivales. Premièrement en faisant entièrement confiance à l’audience organique des influenceurs pour le Ligier Summer Camp. Ensuite, comme l’explique Jean-Michel Onillon « en travaillant finement la stratégie paid YouTube » de la websérie de sorte qu’elle engendre des vues organiques et pas uniquement des vues payées.

Source : La Réclame

LA 5 ACTUS BUSINESS DE LA SEMAINE DES RÉSEAUX SOCIAUX

LA 5 ACTUS BUSINESS DE LA SEMAINE DES RÉSEAUX SOCIAUX

Nouvelles fonctionnalités, nouveaux formats, nouvelles études ou nouvelles sources de monétisation… Chaque jour, l’actualité des réseaux sociaux est riche. Pour se repérer dans ce flot d’innovations, Stratégies décrypte les annonces les plus importantes.

C’est la grosse info social média de la semaine: Facebook tacle agressivement Youtube. Lancée aux Etats-Unis il y a un peu plus d’un an, la plateforme Watch rassemble les vidéos des utilisateurs, des créateurs mais aussi les droits acquis par Facebook. Facebook a annoncé le 29 août qu’il allait désormais proposer dans le monde entier son service de contenus de vidéo Watch, déjà déployé aux Etats-Unis depuis un peu plus d’un an. «Nous avons créé ce produit de manière à ce que les utilisateurs ne soient pas dans une logique de consommation passive des vidéos mais qu’ils puissent y participer. Nous espérons qu’ils auront le sentiment d’avoir passé un moment enrichissant», a expliqué la vice-présidente produits en charge de la vidéo et de la publicité, Fidji Simo. Le service doit permettre aux utilisateurs de proposer bien entendu de nouvelles vidéos mais également trouver les dernières vidéos classées par thème, de sauvegarder certaines vidéos, d’échanger avec les créateurs voire d’y interagir. Le groupe a par ailleurs «passé énormément de temps avec les éditeurs» de contenus afin de «laisser à chacun la possibilité de monétiser ses créations» via une série d’outils permettant d’intégrer de la publicités aux contenus, a ajouté Fidji Simo.

La plateforme de vidéos de Google a annoncé par la voie d’un de ses employés dans une interview sur YouTube, qu’elle allait généraliser les publicités non skippables (que l’internaute ne peut pas passer pour voir directement sa vidéo). Les créateurs et détenteurs de chaînes pourront, à l’avenir, choisir de ne diffuser que des publicités non skippables: un choix plus risqué car les internautes peuvent être incités à fermer la vidéo, mais plus rémunérateur dans le cas où elles sont vues. Et donc des publicités plus chères pour l’annonceur. Cette fonctionnalité n’était, auparavant, réservée qu’à une communauté restreinte de youtubeurs.

Le réseau social professionnel LinkedIn a annoncé qu’il mettait à la disposition des chercheurs sa vaste base de données. Le programme se nommme LinkedIn Economic Graph Research Program (EGRP) et concerne trois domaines de recherche: l’analyse des données, l’économie et l’intelligence artificielle. «Les équipes sélectionnées pour participer à l’EGRP auront la possibilité de poursuivre leurs recherches avec nos experts dans ces domaines et accéder ainsi à nos données», peut-on lire dans un communiqué.

Le réseau social Instagram, filiale de Facebook spécialisée dans le partage de photos et de vidéos, a décidé d’ajouter l’authentification des comptes de personnalités, de grandes marques ou d’organisations. Une signalétique bleue indiquera les comptes dont le propriétaire a été soumis à un processus de vérification, incluant notamment la copie d’un document d’identité. Cette initiative, qui devrait être déployée dans le courant du mois de septembre, intervient au moment où les grands réseaux sociaux multiplient des mesures pour éviter en particulier les campagnes de désinformation engagées à l’approche de scrutins importants.

Certains utilisateurs de l’application Snapchat ont pu accéder à la toute dernière version de son interface et ont partagé des captures d’écran et des vidéos. Une nouvelle navigation et de nouvelles icônes qui feront peut-être oublier les déboires de sa dernière mise à jour très controversée. Cette nouvelle application n’est pas révolutionnaire mais elle est plus performante. À noter également qu’elle s’inspire de sa grande rivale Instagram pour plus de clarté et de fluidité. Voir une démonstration.

Source : Stratégies

UN NOUVEL ESPACE DÉDIÉ À LA VIDÉO SUR LA PLATEFORME FACEBOOK

UN NOUVEL ESPACE DÉDIÉ À LA VIDÉO SUR LA PLATEFORME FACEBOOK

Facebook annonce le lancement mondial de “Watch”, son espace dédié à la vidéo. Le service compterait déjà 50 millions d’utilisateurs.

Lancé en 2017 aux États-Unis, “Watch” arrive en France – et dans le monde entier – le 29 août 2018. Ce nouvel espace dédié à la vidéo sur Facebook a été imaginé par le média social pour permettre à sa “communauté de découvrir des contenus et d’en discuter avec leurs amis, avec d’autres fans, voire même avec les créateurs de contenus/médias eux-mêmes”, explique Facebook dans un communiqué. Ainsi, les utilisateurs disposent d’un “lieu” pour découvrir de nouvelles vidéos sur leurs sujets de prédilection (sport, actualité, par exemple), mais, aussi, pour suivre les créateurs de contenus et les médias qu’ils apprécient. Pour ce faire, il est possible, depuis son fil d’actualité Watch, de personnaliser sa “Watchlist”, regroupant les dernières vidéos des pages et des personnalités suivies, en sélectionnant de nouvelles vidéos ou en en supprimant. Watch se veut également un espace de sauvegarde des vidéos, pour regarder du contenu en différé. Prochainement, nous introduirons de nouvelles expériences dans votre flux Watch, comme les Watch Parties et nous rendrons les vidéos Live plus faciles à retrouver afin de vous permettre de discuter des événements importants en direct”, promet Facebook.

Le média social indique également élargir son programme Ad Breaks, afin de permettre à davantage de partenaires, marques ou médias créateurs de contenus notamment, de monétiser leurs vidéos.

Selon Facebook, depuis son lancement aux États-Unis, chaque mois, plus de 50 millions de personnes viennent sur Watch pour consommer du contenu vidéo pendant au moins 1 minute. Depuis le début de l’année 2018, le temps passé par les utilisateurs sur Watch a été multiplié par 14.

Pour accéder à Watch sur iOS et Android, il faut rechercher l’icône Watch dans sa barre de raccourcis ou via le signet “Voir plus” sur Android et iOS.

Source : E-Marketing

8 CONSEILS POUR DÉCONNECTER (VRAIMENT) EN VACANCES

8 CONSEILS POUR DÉCONNECTER (VRAIMENT) EN VACANCES

Les vacances approchent, elles sont presque là et vous vous empressez de boucler vos mails, votre to-do list et votre valise. C’est le moment de passer en mode déconnexion ! Dans votre besace, vous emporterez quelques essentiels de survie : chapeau, crème solaire, livre, magazines, chargeur de téléphone. A la question, « est-ce que j’amène mon ordinateur de boulot, mon téléphone ? » vous n’avez pas encore la réponse. Vous vous interrogez, des fois qu’il y ait une urgence. Si c’est le cas, lisez ce qui suit, nos conseils peuvent vous aider. La sur-connexion en vacances ne concerne pas que votre travail mais aussi votre inséparable, ce précieux smartphone, sur lequel vous consultez, parfois dès le réveil, vos notifications et e-mails.

Voici quelques réflexes à avoir pour changer vos habitudes, vivre l’été autrement et RE-découvrir les bienfaits d’une pause sans surcharge mentale.

1. Avant de partir : préparez le terrain de la déconnexion

Déchargez-vous d’un maximum de tâches (éviter de reporter à votre retour) et rédigez une réponse automatique.
Idéalement vous avez un binôme qui ne part pas en même temps, ce qui permet de ne pas faire attendre vos interlocuteurs jusqu’à votre retour et de ne pas avoir 600 mails à traiter en revenant. Indiquez donc un contact qui peut prendre le relais pendant vos congés. Si ce binôme n’existe pas, n’hésitez pas à mentionner fermement que vous « prendrez connaissance de ce mail à votre retour ». En revanche, jouez le jeu, ne répondez pas à vos mails pendant vos vacances !

2. Rester disponible en vacances ? C’est NON !

Sauf cas exceptionnel (vraiment indispensable) sachez dire non à votre supérieur qui vous demandera de « garder un oeil » sur vos mails. Même si vous avez envie de rester dans la boucle, être au courant de tout et que vous avez peur de perdre le fil, commencez par vous dire NON à vous. Ensuite, dites-le à votre supérieur si toutefois il/elle insiste.
Ne succombez pas à la peur de manquer quelque chose. Avec de l’organisation et l’esprit reposé, vous saurez retrouver le fil, faites-vous confiance !

3. Valise ? Voyagez léger 

Au moment de faire votre valise, folie, si vous tentiez de laisser tablette et ordinateur portable au tiroir ?
Faites-le pour voir. Vous aurez toujours votre smartphone en cas de besoin.

4. Limitez l’usage des applications

La veille du départ ou sur le trajet, repérez sur votre smartphone toutes les applis en lien plus ou moins symbolique avec le travail : mails, transports en commun, réseaux sociaux pro, agenda… et coupez toutes leurs notifications, puis déplacez-les vers le dernier écran de votre smartphone. Vous aurez tout le temps de les redécouvrir à votre retour… ou pas ! Ne gardez que les 5 applications pour vous divertir et qui ne génèrent aucune source de stress : partage de photo, jeu, lecture…

5. Désactivez les notifications et la data (3G, 4G, Wifi)

Mis à part les SMS, laissez-vous la liberté de décider où et quand vous consultez votre smartphone.
Coupez les données cellulaires et remettez-les à chaque fois que vous en avez besoin, cela ne prend pas longtemps, mais assez pour court-circuiter les usages automatiques.

6. Réactivez votre mode conscient !

A chaque fois que vous avez votre téléphone dans la main, retournez-le face cachée et posez-vous, en toute sincérité, une de ces questions :
– Est-ce que je pourrais le faire autrement, d’une manière plus plaisante pour moi, ou plus connectée (à moi et aux autres cette fois-ci, pas à internet) ?
– Qu’est-ce que j’attends de cette utilisation, là, maintenant ?
– Combien de temps je prends pour ça ?
– Ne préférerais-je pas faire autre chose à la place ? (comme par exemple lire un magazine ou avoir une discussion avec un proche)
Et si vous le souhaitez toujours, reprenez ce que vous alliez faire… ou pas.

7. Lancez-vous des défis !

– Chiche qu’on part avec un seul portable à la plage aujourd’hui (et on tire au sort lequel) ?
– Chiche que je désactive mes données cellulaires pendant 48 heures ?
– Chiche que personne ne peut avoir un portable à la main si une autre personne est à moins de 2 mètres…
A vous d’inventer les règles du jeu ! Et surtout, débriefez ensuite ! Qu’est-ce qui s’est passé qui ne se passe pas d’habitude ? Comment je me suis senti.e ?

8. Oubliez l’horloge ! Surtout celle de votre téléphone !

A nous de vous donner un petit défi : pendant toutes vos vacances, interdit de regarder l’heure sur le portable. Munissez-vous d’une montre ou demandez l’heure à quelqu’un de votre entourage. Vous verrez ça marche très bien !

Source : Les Ateliers durables

LES CHATONS D’OR 2018 – LE PALMARÈS

LES CHATONS D’OR 2018 – LE PALMARÈS

Pour sa 7ème édition, les Chatons d’or, ont été placés sous le signe des révolutions. Le jury présidé par Stéphane Xiberras a rendu son verdict !

Plus de 3 000 créations ont été passées en revue à cette occasion.

Revenons en image sur le palamarès de cette édition.

Révolutions de la marque – Prix de la campagne de marque

L’épilation naturelle, Yves Rocher
Jeffrey Thezenas et Eléonore FredetLexique, Youporn
Alexandre TissierBerlitz
Claire LenneL’équipe
ApoteozRévolutions citoyennes

Prix du projet citoyen avec IESA Multimédia
Boites aux lettres, Fondation Abbé Pierre
Tom Desmettre et Vincent VigneronPrix citoyen
Les symptômes invisibles
Vincent Teffene et Thomas Kouri

Révolutions numériques – Prix spécial «digitalisation d’une marque» avec e-art sup et ISEG MCS
Tipp-ex
Marine BayleRévolutions du travail – Prix spécial Pôle emploi
COJOB
Caroline Piot, Juliette Delessy-DorviliusRévolutions artistiques

Prix du projet artistique
Plus ça va, plus ça va vite
Thierry SantoniPrix du projet artistique
John Hamon
John HamonPrix spécial «Les images font bouger le monde» avec Getty Images
Getty Images reflète le monde
Agnès Herman, Alomé Paupard, Lralia Sall, Mélanie Sichere, Charlotte SikoraPrix spécial #Printpron avec Exaprint
Journée mondiale des sourds
Valentine SadaunePrix spécial Malesan
Malesan
Anne Laure GialisPrix spécial «inter-catégories» avec le bicentenaire de la Caisse d’Épargne IDF
Aglaé, le végétal luminescent
Sophie HombertData for Good
Frédéric BardolleNU, une cantine connectée zéro-déchet
Aude CamusMentions
Mercedes e-Berline Hybride
ApoteozLilo
Clément Le BrasSoliguide
Victoria MandefieldObjectif bac, Monoprix
Marine Sanchez, Julie Gueulet et Willy Ruchon

LE COMMUNITY MANAGEMENT EST MORT

LE COMMUNITY MANAGEMENT EST MORT

Oui, le Community Management est mort. Si jeune, mais déjà bon pour le cimetière. À sa naissance il y a quelques années, il a d’abord été confié à des stagiaires. Sous prétexte que « les réseaux sociaux c’est un truc de jeunes », on leur demandait de s’occuper de « ça » dans les agences ou services de com des entreprises.

Sans trop savoir comment ni pourquoi, mais au moins les directeurs marketing pouvaient-ils claironner dans les dîners en ville que bien entendu, leur entreprise était déjà sur Facebook allons-donc, passez-moi le vin Jean-Claude.

Puis le Community Management est entré dans l’adolescence. Parfois turbulent, comme quand il achetait ses fans dans des pays du tiers monde, mais plus intéressant également. On a vu à ce moment apparaître les premières stratégies de marques, pas encore très assurées mais pleines d’envie.

Et si vite après, la maturité. Un modèle s’est dégagé, copié sur les premiers à avoir vraiment tiré leur épingle du jeu, Oasis, Oreo and co : le REBOND SUR ACTU. Le fameux post Facebook sur les marronniers.

Le rebond sur la Saint Valentin, sur la journée mondiale du compliment (où les marques se lancent des fleurs entre elles), sur la coupe du monde même si on n’a pas acheté les droits mais on s’en fout c’est sur Internet, c’est gratuit.

Résultat : aujourd’hui, nous faisons tous la même chose. Nous avons tous les mêmes calendriers de temps forts, directement édités par les réseaux sociaux. Nous avons tous les mêmes visuels, issus des mêmes banques d’images. Nous avons tous les mêmes mécaniques génératrices d’engagement, à base de « et vous, qu’en pensez-vous ? ». Ou pire, de « taguez un ami qui… ». Nous avons tous les mêmes reportings, se réjouissant de quelques dizaines de likes sur des posts vus par quelques centaines de personnes.

Aujourd’hui, ce que nous faisons ne sert plus à rien.

Des posts vus, likés et aussitôt oubliés. Cela ne sert en rien les marques, leurs produits ou leurs services. Encore moins leurs clients ou prospects. L’engagement est devenu artificiel, servant uniquement à faire joli dans les reporting et à justifier des budgets publicitaires.

À l’exception de quelques marques référentes se comptant sur les doigts d’une main (Oasis et Monoprix hier, Netflix et Burger King aujourd’hui), personne ne tire son épingle du jeu. Le community management comme nous le faisons aujourd’hui est bon pour la retraite.

À l’origine, il y avait pourtant quelque chose de noble dans le social media : faire se rapprocher les marques et leurs clients. Aider les deux à mieux se comprendre pour que tout le monde soit gagnant. Passer d’une communication verticale, avec des messages abrutissants martelés, à une communication horizontale, permettant à chacun de réagir et donner son avis.

Aujourd’hui, on se gargarise de 4 retweets parce qu’on a rebondit sur #PlaceRacletteDansUnTitreDeFilm avec une marque de lessive…

Il est temps de redonner du sens à ce métier.

Le Community Management doit redevenir ce qu’il a été brièvement, à l’origine : une formidable opportunité pour les marques et leurs clients de se rapprocher. Cela passera par des actions vraiment utiles :

– des contenus serviciels, avec une réelle valeur ajoutée pour les gens ; quand on contacte une marque sur les réseaux sociaux parce qu’on a un problème, on attend VRAIMENT une réponse, pas un jeu de mot foireux pour faire rire les autres CM ;

– des engagements éthiques et responsables; la société évolue, les marques doivent faire de même, en écoutant ces attentes et agissant en profondeur pour y répondre. Cela évitera de se retrouver à la Une du prochain Cash Investigation, et permettra à chacun (clients ou salariés de la marque) de se sentir en phase avec son époque ;

– des idées ! Des contenus originaux, créatifs et intelligents, plutôt que de multiplier le snack content… si vite oublié et généralement à des kilomètres des valeurs de la marque ;

– en phase avec les attentes des gens ; au lieu de nous demander « que proposer aux gens sur les réseaux sociaux qu’ils pourraient liker ? », mettons-nous à leur place ; cherchons ce qui peut vraiment les intéresser, plutôt que ce qui nous fait rire nous ; cherchons ce qui sera utile à la fois à la marque mais aussi et surtout à ses clients ;

– moins se reposer sur la médiatisation des posts ; Facebook vous dit que la portée organique a disparu ? C’est faux ! Si votre contenu est intéressant, vous n’aurez pratiquement pas besoin de média, les internautes le partageront directement ! La médiatisation doit être une aide, pas le point de départ. Si toute votre communication repose dessus, cela démontre seulement une absence de créativité ou de sens.

Ces actions, menées sur le long terme, permettront aux marques de mieux se transformer, de redorer leur image auprès de clients inquiets et en quête de sens, et ainsi de générer de la préférence, puis des engagements (achats ou recommandation)… tout en affirmant des valeurs fortes et respectées.

Ces actions permettront aux marques de continuer à exister et à être performantes.

Ces actions permettront aux clients des marques de retrouver confiance dans les marques. Ces actions permettront au Community Management de reprendre un vrai rôle central dans les stratégies de communication.

Il est temps de commencer cette (r)évolution.

By Audrey Depommier & Arnaud Gaidon.
Source : Medium